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Mon tableau de chattes

17 mai 2015

Mes vas à Cotonou suite

Acte 2 Clarissa notre hôte, l'amie de Fani Fani s'empressa de s'habiller et sortit de la chambre tandis que médusé, je suis resté là, bite en l'air. Je m'assied un moment pour me remettre de la situation puis, je prends mon boxer et commence par m'habiller lorsque la porte s'ouvrit, C'était clarissa, notre hôte, l'amie de Fani. - Ah excuse moi! Je ne savais pas que t'étais nu -T'as pas á t'excuser en fait j'était venu ici pour -t'inquiète t'as pas à t'expliquer, Fani m'a causé avant d'aller chercher Alex son copain et je suis désolée pour toi, mais que dirais-tu si on terminait ce que Fani et toi avez commencé ? A moins que tu ne baises qu'avec tes cousines! A ses mots elle s'approche de moi et redescend mon boxer et sans perdre de temps prit mon membre dans une main s'abaisse et commence par me tailler une pipe. Je ne tarde pas á retrouver mon excitation de tout á l'heure et ma bite reprit sa vigeur. Après avoir fait quelques vas et viens, Clarissa enfonce tout mon dard dans sa bouche et le mène jusqu'à la queue. Je n'en crois pas mes yeux, je n'ai jamais eu droit à ça; cette nana sort d'un film porno ou quoi? Une gorge profonde c'est le sommet de la fellation, c'est inoubliable! Elle me pompe avec ses lèvres tel un sangsue. Mon plaisir est immense. Ses lèvres naturellement noires lachent á présent mon serpent et s'attaquent à mes couilles. Après quelques baisers sur mes couilles, je sent mon hote leur donner des coups de langue. Je suis aux anges. Elle me pousse sur le lit ce qui me fait tomber á la renverse puis je sentit sa langue s'attaquer de nouveau á ma vigeur. Une main me taquine les couilles puis je sent sa langue descendre peu á peu, quittant ma bite , après l'avoir parcouru de toute sa longueur, elle attérit sur mes couilles puis je la sent sur mon pétit trou. Ce dernier coup me fit sursauter tant c'est intense, clarissa tente de me rassurer afin de continuer mais je refuse et me lève. Elle n'insiste pas et s'excuse. Elle se lève s'approche de moi et sans dire un mot, elle enlève son décolté puis sa robe. Elle est belle, peau noire cirée, des chutes de rein remarquables, elle était dans un ensemble soutien string noir avec une chaine á la taille. Elle ne me laisse pas le temps de contempler son ensemble puis enlève son soutif. Ses seins éta
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14 mai 2015

Mes vacs a Cotonou

Mes vacs à Cotonou Acte 1 Ma cousine Fani Juin 2006, je décroche mon bac et part en vacance chez ma mère à Cotonou. Deux jours après mon arrivée dans la capital économique béninoise, ma mère et moi sommes invités chez une cousine à elle, une que je n'ai Jamais vue avant . Arrivé chez la cousine à maman qui est par conséquent ma tante, je fut immédiatement conquis par la beauté de sa fille Stéphanie, Fani pour les intimes. Je noue vite une Amitié avec elle. Le soir dans mon lit, j'ai pensé une partie de la nuit à comment faire pour posseder son corps et explorer son jardin secret. Le lendemain, je l'appelle, on se parle quelques minutes puis elle m'invite á une fête qu'organise une amie à elle le samedi (On était au Mercredi). On s'est appelé les jours suivants puis arrive le samedi. Fani est coiffeuse-esthéticienne, a un pétit ami et inaugurera son salon dans trois semaines . Elle est d'une beauté envoutante avec ses fesses bien rondes et larges, des chutes de rein digne d'une princesse arabe des milles et une nuit, avec une taille de 1m70, tout ça avec un teint claire. Arrivé au carrefour oú on devait se rencontrer pour aller à la fête, Fani était déjà là et m'attendait. Elle était toute belle rayonnante dans son décolté rose et son jeans bleu moulant taille basse. On arrive chez son amie qui habite dans une villa chic dans une cité de Cotonou. Elle me présente tout le monde et ses amis sont très cool avec moi; c'était Comme si on se connaissait depuis toujours. Tout se passe bien puis après une chanson de R. Kelly, la musique vira au zouk ainsi que la lumière qui passe maintenant au violet. Danssant déjà avec Fani, je la prend juste par les hanches et nous entamons des mouvements de rein. Sans mentir, je suis un peu doué en zouk et j'ai réussi à avoir plusieurs amies en danssant du zouk avec elles. Un morceau passa puis un autre s'annonce, une chanson que j'aime particulièrement, une chanson de Joycelin Deloumeau . Je sert Fani plus qu'avant puis j'entame une danse plus serrée avec elle. Je commence par la regarder plus intenssement puis sachant bien les mots de la chanson qui suivront dans les secondes à venir, je chante en synchro avec l'auteur tout en tentant une caresse osée sur les fesses de ma cousine : Au plus profond de mes rêves, au plus profond de mes rêves, t'es la douceur de mes nuits. A ces mots Fani réagit et me lance avec humour : - Tu me fais une déclaration ou quoi ? - Appel ça comme bon te semble mais une chose est sûre, depuis notre rencontre, je ne pense plus à rien, mes pensés vont irresistiblement sans cesse vers toi et ta beauté unique me rend dingue - T'es serieux? - Evidemment, d'ailleurs, tu peux pas imaginer á quel point je me retiens pour ne pas t'embrasser si près de tes lèvres qui m'obssedent tant et je voudrais bien te . Elle me laisse pas terminer et me colle ses levres à la bouche. Je me fais pas prier et commence par l'embrasser. Elle me roule une perle diaboliquement sensuelle et raffinée . Jamais une fille ne m'avait auparavant embrassé comme ça. Sa langue était une véritable source de plaisir. Elle se détache de moi et me dit : - Ro, je sais pas si tu dis ça juste pour m'impressionner ou si tu le pense réelement mais je pense que tu me plais aussi et c'est la vérité, tu m'attire tellement . A ces mots, elle me prend le poignet droit et sans mot dire me traine derrière elle. Nous traverssames le salon pleine de danseurs, le couloir puis elle me fit entrer après elle dans une chambre (je saurai après que c'est la chambre à clarissa, son amie). A peine entrés, Fani se jette sur moi et commence par m'embrasser avec fougue, Je lui rend sa perle de tout à l'heure puis sans perdre de temps, situation oblige, lui foure une main dans son décolté. Je lui caresse les seins tout en l'embrassant puis, ouvrit son soutif. Je sentit sa respiration s'emplifier puis Je lui enlève vite fait le décolté et ce que je vis provoqua en moi une excitation démesurée. Ses seins bien plus claires que le reste de son corps étaient d'une beauté infinie , la moyenne, ni gros ni pétits, ils étaient pointés comme je les aime, tel des missiles américains pointés sur Bagdad . Je prit le droit dans ma bouche tandis que le gauche reçevait la visite de ma main droite qui l'échangait de temps en temps avec des caresses dans le dos de Fani et des occupations au niveau de son bas-ventre. Fani me caresse la tête et sa respiration est de plus en plus fort. Maintenant, ma bouche change de cible puis après quelques minutes, visite les deux seins de Fani l'un après l'autre. Mes mains pendant ce temps, cherchent á ouvrir sa ceinture puis après avoir eu gain de cause, elles s'occupent du bouton. Je me sépare des seins claires de Fani puis lui enlève son pantalon jeans. Wow! Que c'est beau! Ma cousine ne portait ríen sous son jeans et me paraissait comme une déesse, son sexe était entièrment épilé et d'une attirance imcompréhensive . Je fit coucher Fani sur le lit puis en voyant ses cuisses qui s'ouvrent et me présentent son entre-jambe bien en chair et joufflu, je m'approchai d'elle un peu plus, mit une main sur son sexe. Qu'est-ce qu'il est lisse! Je reviens á son entre-jambe, puis remarque que Fani est trempée je reçu un appetit soudain, un appetit sans précedent et jusqu'aujourd'hui incompréhensif, je m'approchai de sa chatte, la renifle puis y glisse ma langue. Pour la première fois, moi qui suis un anti-culliningus, insultant souvent mes potes fans de cette pratique, je sucombe á son envoutement. Quelle est chaude et pure délice cette grotte! Je plongeai un peu plus ma langue ce qui fit gémir Fani et elle ouvrit plus ses cuisses et je dépose un doigt sur son bouton d'amour. J'accentue les caresses sur son clito tandis que ma langue fouille plus profondement l'intimité de ma cousine. Fani Me caresse la tête tout en gémissant encore plus. Je remplace maintenant ma langue par un doigt ce qui fit sursauter ma cousine qui lache un pétit cri. Mon doigt double de vitesse tout comme la respiration de Fani dont la fente ruisselle de mouille. Ma bite dure depuis un certain temps me fait maintenant mal. Je remit ma langue sur son clito puis mit un second doigt dans la cave. Elle sursaute en lachant un miaulement. Je continue de la travailler puis après quelques minutes je sens son corps se crisper elle me murmure : - Oh Ro! Ro c'est bon ! Je viens ! Je viens ! Fani part dans un long orgasme puis je sens un flot de cyprine envahir mes doigts. Je me lève et descends du lit enlève ma ceinture, ouvre ma braguette descends mon pantalon suivi de mon boxer, je sort un préso de mon porte-feuille m'apprette á ouvrir l'emballage lorsque j'entends: Qu'est-ce que tu fais? Tu ne vas tout de même pas me baiser comme ça? Du moins pas avant que je ne te remercie. Elle se lève s'approche de moi, m'embrasse soudain je sentit, une sensation agréable sur mes couilles. C'était Fani qui les prenait en main. Ce geste doubla mon érection, j'étais encore dans mes emotions lorsque je sent ses doigts s'enrouler autour de ma bite; puis se détachant de ma bouche, elle me dit tout en commençant par me branler avec douceur: - Tu sais, je n'oublierai Jamais ce que tu viens de me faire, enfait c'est la première fois qu'on me le fait, en plus tu m'as fait jouir rien qu'avec ta langue et tes doigts, mon mec ne m'a jamais fait jouir, merci! Elle descends á présent á mes pieds tout en continuant la branlette puis depose un baiser sur la tête de la bête. Il s'ensuit une serie de baisers doux et tendres sur le long de mon boa. Ce traitement me fit fermer les yeux alors qu'une main me reprend les couilles. Je frémit quand tout á coup, je sentit une humidité se poser sur ma tige. J'ouvre les yeux quand je vit la bouche de ma cousine avaler mon pénis. Je la voit aller jusqu'à la moitié de mon membre puis revenir á la tête. Elle prend á présent l'animal á la queue puis me pompe avec vigeur. La vue de ses belles lèvres allant et venant sur ma bite m'excite au plus haut point. Je lui mis une main dans les cheveux pour les lui caresser. Fani semble être encouragée par mes caresses et pouce plus loin dans sa gorge ma bite. Je ne retiens plus ma respiration qui devient plus intense. Je me retire de sa bouche la relève, l'
3 mai 2015

Marie ou ma première fois á l'hôtel fin

Je montai sur le lit et commencai par embrasser Marie. Je sentit ses mains dans mon dos et son souffle accelérer. Je retire ma langue de sa bouche et la tirai vers le bas. Mes yeux parcourent son visage , ses nichons fermes et beaux m'exitent encore plus. Sa matrix rasée et son clito qui pointait ne demandaient que ma bite. Je relevai ses jambes et d'un coup sec et entrai en elle. La grotte est si chaude et trempéé. Marie poussa un pétit cri. Je donnait des coups profonds et durs à Marie. La vue de mon boa allant et venant dans sa grotte m'exite tant. Je prenais tellement plaisir à sauter cette chatte. Je libère maintenant ses jambes et lui donne des coups plus rapides. Ses gémissements, ses cris, m'encouragent à la limer plus. Mes vas et vients se synchronisaient à ses mouvements de reins. Qu'est-ce qu'elle est bonne cette meuf! - Oh! C'est bon je te sent si fort! Baises-moi ! Baises-moi ! Me lance t-elle. Ses mots me galvanisent et je passe à la vitesse supérieure. Je vais et je viens en Marie maintenant comme une machine à coudre. Je sentit ses jambes se refermer dans mon dos et m'emprisoner tandis que Marie recommence ses hurlements de tout à l' heure. Je la sens venir et sentit un frisson me parcourir le corps. Je ne vais quand même pas éjaculer sans la prendre en levrette, ma position fétiche! Je me saisi de ses jambes et les écartait. Je sortit mon dard de ses chairs et le remplacai par deux doigts , histoire de faire chuter la pression. Car tant elle était énorme. Marie criait son plaisir et ondulait sous mes doigts et soudain, je vit ses mains quitter ses cheveux pour s'attaquer à ses seins, les malaxer, les pincer - Oh! Je viens, c'est bon!c'est bon!c'est bon ! Oh oui ! Marie venait encore de jouir; mais en homme averti, j'esquivai cette fois-ci ses jets. Je retire mes doigts, me leve et me dirige vers la table et prit une autre tablette de chocolat que je mit sous mes dents. Je retourne auprès de ma belle baiseuse, plus attirante que jamais avec ses mains sur ses seins. Je remplacai sa main gauche par ma langue pendant que ma main gauche elle, remplace sa main droite. J'induit le téton de chocolat fondu et jouait avec. Je sentit sa respiration accelérer, une main sur ma tête, une autre dans le dos; Puis j'entends Marie me murmurer: - Prends-moi! Prends-moi stp! Prends-moi par derrière! Je ne me fais pas prier et descendit du lit. Cette meuf est incroyable, je l'échangerai volontier contre ma meuf. Aussitôt descendu du lit, Marie se retourne et me présente ses larges hanches et ses belles et sublimes fesses. Je la replace correctement en bon angle et après avoir prit quelques secondes à contempler ce parchoque remonter qui ferait monter la soutane à plus d'un prêtre, je m'introduit dans cette grotte centimètre par centimètre, ondulant les reins pour bien marquer de mon sceau, chaque minimètre carré de ce puits dégoulinant de cyprine. Marie gémissait à chacune de mes ondulations et me retournait pareille. De ma main droite je lui titille son clito tandis que l'autre s'occupe de caresser ses fesses. Mon dard est maintenant complètement enfoui dans la grotte et je lime ma bénévole sur les côtés. A chaque assaut, j'entends les fesses de Marie clapoter contre mon bas-ventre. Je sentit Marie réculer un peu plus vers moi et je la sent onduler plus sous mes coups. Mon dard va, vient, fend cette masse de chair toute trempée de cyprine tandis que le plaisir m'envahit encore plus, seconde après seconde, coup après coup, ondulation après ondulation. Marie gemit maintenant comme jamais auparavant et me donne encore plus ses fesses. Je prends un plaisir fou à fouetter cette chatte pleine de cyprine puis je vit Marie soulever une jambe. Cette nouvelle vue qui m'offre une image plus prononcée de ma bête explorant cette grotte, monta mon plaisir et je prit cette jambe que venait de lever miss grosses fesses. Après quelques minutes dans cette position, je dépose la jambe de Marie et mit mes mains à chaque côté de ces belles fesses. La baise est maintenant plus hard et je vois mon dard fendre et refendre les chairs de Marie en conquérant. Marie ne se retient plus et des gémissements, passe maintenant aux hurlements . Marie ondule comme sa vie en dépendait puis je l'entends bredouiller: - Oh! Que c'est bon! Tu me baises si bien! Je te sens si fort ! Vas y donne moi tout !oh! C'est bon c'est bon! Viens ! Ces mots multiplient mon plaisir, je sens des frissons me parcourir les pieds, j'ai des courants qui me parcourent la colonne vertebrale. Marie ondulait encore plus et n'arrêtait pas de m'encourager. Je sens un plaisir immense jaillir de mes couilles et parcourir les chairs de mon boa. Je continue par assaillir les chairs de cette grotte puis dans une nouvelle ondulation synchronisée avec des clapements des fesses de Marie contre mon bas-ventre, je sens le plaisir prendre possession de ma chair, de mon corps et de toute mon âme et je me met à jouir, à donner des jets aussi violents que dévasteurs tandis que Marie dans un cris strident et aigu m'honore d'un nouvel orgasme plus fort et plus violent que les précédents. On s'écroule tous les deux sur le lit. On s'est emdormi et à mon reveil, il était déjà 15 heures. Marie figure à la deuxième place sur mon podium de meilleures nickeuses. Marie et moi aurons d'autres moments intenses que je vous raconterai dans ce dossier après.
3 mai 2015

Marie ou ma première fois à l'hôtel. Suite

Je ne pu m'empecher d'avoir un début d'érection à la vue de ce corps qui me présente des hanches aussi large que celles de Cherokee la star américaine de films x, une V bien en chair comme je les aime et de surcroit rasé. Je m' approchai de Marie comme un belier attiré par une feuille verte et sans mot dire, commence par l' embrasser. Que c'est bon de sentir sa langue dans ma bouche. Ces lèvres sont de véritables fruits de plaisir. Je mit ma main droite dans son décolté pour m'ocuper de ses lolos tandis que la gauche prit le chemin de ses cheveux. Qu 'est-ce que sa peau est bonne à toucher ! Je lui donne maintenant des baiser au cou, elle ne reste pas indifférente et me caresse les oreilles. Je lui enlève son décolté et ce qui apparurent doublèrent mon exitation. Je lui fit signe de monter sur le lit. Ce qu'elle fit. Je montai aussi et ne perdit pas le temps pour retrouver la douceur de ses seins. Ma langue s'attaqua à son auréole mamaire droit sur lequel, je fesait des cercles avant que ma bouche n'engloutisse ses mamelles. Durant ce temps , ma main gauche s'occupait de son côté de l'autre sein par des caresses qui ne laisse pas indifférente ma bénévole qui me caresse le dos tout en laissant échapper son plaisir. Ma main droite quand à elle ne perdait pas de temps pour caresser son bas-ventre et son pubis aussi lisse que la peau d'un nouveau né. Marie me demanda de me lever, ce que je fit aussi vite qu'un boa saisissant sa proie. Marie me coucha sur le dos et monta sur moi. Sa langue infiltra ma bouche et elle commence par me rouler une perle au momemt oú ces mains me parcourait la poitrine. Elle me pinça subitement le téton droit puis je sentit sa bouche quitter la mienne pour se poser sur le téton pincé. Elle me le suce si bien que que je fut traversé par un frisson. Elle me sourit et me dit: - Je vois que je te fait du bien comme tu m'en a fait tout à l'heure. La seule chose que je réussi à faire est de répondre à son sourire. Je vois maintenant son visage prendre le chemin de mon entre-jambe et je vois une main se saisir de ma braguette et ouvrir ma fermerture éclaire. Je sentit la chaleur de sa paume sur mon boa qui doubla de taille. Marie me branlait avec douceur faisant accentuer mon désir. Elle se lêve maintenant puis m'enlève mon pantalon et mon boxer. Je me dé charge de ma chemise dont les boutons étaient défaits quelques minutes auparavant par ma branleuse aux doigts de fée puis me recouche. La meuf aux larges hanches recommenca sa branlette mais avec plus de vigeur. Elle serra ma bite un peu serré à la base puis descendit la tête sur la bête. Je sentit ses lèvres glisser doucement sur ma bite puis, une main toucher mes couilles et les caresser. Ce traitement amplifie mon plaisir ce qui me fit mettre une main dans les cheveux de Marie et défaire sa queue de cheval. Marie accentue maintenant ses vas et vient s tout en léchant de temps en temps la tête du boa. Qu'elle pipe d'enfer me fait cette meuf! La vue de ses lèvres allant et revenant sur mon membre m'exitait tant. Ne pouvant plus résister d'ici peu à ce traitement, je tente de m'y soustraire et je réussi. - Viens m'embrasser! Aussi tôt dit aussi tôt fait. J'en profite pour la retourner et attaquai ces nichons, jeux de langue, jeux de caresses, sucons, téton entre lèvres tantôt, téton pincé aussitôt, Marie ressemble maintenant à une femme en chaleur, très en chaleur. Ces gémissements m'encourageaient à faire d'avantage; Ce qui me dirigea à mettre la main à la cave. Je me déplace plus en bas pour bien faire le boulot . Je prit tout d'abord le temps de caresser son pubis lisse de ma main gauche; Ce qui emmena Marie à ouvrir ces jambes. Je n'en crois pas mes yeux. Cette nana n'a pas une fente entre les jambes mais plutôt un boulevard. Sa raie était aussi longue que la fermerture éclaire de mon pentalon et dégoulinait de jus. Je mit mon pouce droit contre son clito et entamai des cercles après l'avoir lubrifié de cyprine . Marie ne put s'empêcher de laisser un pétit crie. Je me permit d'y conssacrer quelques minutes. Marie à présent ne gémissait plus mais miaulait. Tout en continuant les cercles, j'introduit mon doigt le plus long tout doucement dans la grotte. Oh! La vache, qu'est-ce qu'elle est chaude et humide cette grotte! L'entrée de ce doigt fut comme un coup de canon chez ma gourmande qui commence à onduler des reins et me supplie de mettre ma tige en elle. J'arrêtai les cercles, sortit mon doigt et donnai une tape sur le mont de Vénus puis mi aussitôt plus un mais deux doigts dans la cave à Marie. Elle me réclame encore plus. Mes doigts rentraient et sortaient de Marie comme un piston dans un cylindre. Je les lui mettait tout en prenant soin de toucher son bouton rose avec mon pouce. La donselle qui ne se retient plus depuis quelques minutes, rallant comme un moulin, commence par jouir sous mes doigts avec cris et hurlements. On aurait été chez moi que je serait obligé de lui baillonner la bouche. La nana a un orgasme hors du commun, la cyprine coulait comme une cascade, elle commence par taper sur le lit. Soudain, je reçu un jet aussi rapide que violent au visage; Mamamiya! la gonzesse était une femme fontaine. Ayant déjà eu droit à un tel phénomène assez sexy avec une amie, je continuait de plus belle pendant que la nana essaie maintenant de me dégager d'elle. Je dú enlever plusieurs fois ses mains qui tentaient de faire sortir mes doigts. Je sentit son corps vibrer et se blottir contre moi puis dans un mouvement d'abandon synchronisé avec un hurlement strident, Marie m' offrit un second orgasme aussi violent que dévasteur; ce qui fit de moi, un mec en cyprine. Je fit sortir mes doigts, carressai de mon pouce son clioris une dernière fois et prit la direction de la chambre de bain, oú je prit un bain afin de me défaire de tout ce jus intime qui coulait sur mon visage. Après quelques secondes dans la douche, je sortit et vit Marie écroulée sur le lit comme je l'avais laissé avant d'entrer dans la douche. La vue de cette meuf étendue sur le lit, cuisses écartées, nibards en l'air, les yeux à demi clos, redonna de la vigeur à mon dard, je m'approchai de mon pantalon, le prit, en sortit les capotes, habilla mon sabre de chair d'un, prit un morceau du chocolat que j'avais laissé à mon entrée dans la chambre sur la table de service et en veillant conquérant prit le chemin de la gloire charnelle, loin des problèmes de ce monde, sans une pensée pour ma meuf ni songer au titulaire de la grotte, son Joseph ou si vous voulez son mec. Je m'en vais ainsi croquer le fruit défendu de Marie, la bien fendue
3 mai 2015

Marie ou ma première fois à l'hôtel

J'étais en classe de terminal en ce temps, elle en première. Marie et moi sommes amis depuis quelques mois déjà. Elle connaissait assez bien ma copine officielle à l'époque. On marchait ensemble pour rentrer le soir mais c'était pas la grande amitié entre elles. Une semaine auparavant, Marie avait accepté jouer au benevolat avec moi. C'est à dire que nous allons baiser ensemble mais pas question d'amour entre nous; elle avait son copain à Baguida en ce temps or elle était à Totsi et moi Djidjolé. Ce jour on était en récré et sur le balcon, je taquinais Marie comme quoi, j'avais envie d'embrasser ses lèvres semblables à des raisins, sucer, lecher ses seins aux allures de noix de coco, caresser son corps centimètre après centimètre, lecher, sucer doigter son clitoris et sa chatte; et m'ocuper de tout coeur de ses fesses (elle les a énormes, elle n'a rien à envier à Liza de Djanta Kan). Après m'avoir demandé si je suis certain de ce que je lui dit, elle accepta à condition qu'on quitte l'école pour nous retrouver chez elle après 30 minutes. J'acceptai aussi vite comme un mendiant nigerien de Zongo accepterait un billet de 1000 francs CFA et me voilà quelques secondes après devant le censeur pour prendre une fiche de sortie. Je lui expliquai que je devais me rendre à Cotonou vite pour prendre un collis que m'avais envoyé ma mère depuis la France via une béninoise. Vu que j'étais sérieux et brillant en classe, le censeur me donna sans broncher la fiche de sortie. Je revint en classe, prendre mon sac sans oublier d'envoyer un SMS de confirmation à ma bénévole. Je sortit de l'école, revint à la maison prendre une douche, me parfumai le corps. Tandis que je regardais la circulation tout en me brossant les cheveux, (notre maison était au bord d'une grande voie, ma chambre étais à l'étage) je vis ma future nikeuse passée sur un zémidjan. Je m'empressai de prendre des capotes sous mon lit, les mit dans ma poche et sortit de la maison. Me voici devant le portail de Marie quelques minutes après. J'appuie sur la sonette et c'est au moment de vérifier que j'avais bien mes outils de travail ( capotes et chocolat) alors même que j'entendais des pas venir que je me rendis compte que j'étais encore dans ma tenue scolaire, pentalon bleu, chemise blanche. Le portail s'ouvrit et je vit Marie m' apparaître, souriante avec un décolté qui mettait en valeur ses nichons alors qu'en bas, elle avait noué un pagne à la taille. Elle était belle, sensuelle avec ses dents blanches et ses cheveux tirés en queue de cheval. Une queue de cheval, c'est ce qu'il me faudrait pour m'occuper de la fente à celle-ci me suis-je dit en voyant le bout de ses lolos pointés comme un obut américain dressé en direction de Bagdad. On pouvait facilement lire l'envie qu'elle nourissait à mon égard dans ses yeux. Elle me dévorait tellement, j'ai vite compris, que cette meuf aux hanches et fesses énormes se nommait bien Marie mais, elle n'avait rien à avoir avec la vierge. Marie m'expliqua brievement que ses frères et leurs potes avaient amener de la marchandise à la maison et vue que leurs chambres étaient saturées, le plus agé a pris sa chambre à elle. J'étais effondré, deçu, découragé. Je n'allait donc pas pouvoir labourer ce terrain si juteux à mes yeux. J'allais lui demander si elle pouvait venir chez moi le soir quand, elle me dit: - Te fache pas, suis-moi ! Je m'éxécute et je la suit. Arrivée au bord de la route la première tandis que mon portable sonnait, elle appelle deux zémidjan tandis que je reçevait le coup de fil. Je montai sur la moto qui m'était réservée sans savoir quelle était la destination. Après quelques minutes, ma moto qui suivait celle de ma conquette aux très grosses fesses s'arrêta devant un hôtel. Je descendit tout comme Marie qui s'empressa de payer les z-men et rentra dans l'hôtel. Je compris vite que ma première séance de jambes en l'air avec Marie allait donc se faire dans un hôtel, ce hôtel. Etant toujours au téléphone ( à l'autre bout, une ex qui cherche revenir après 3mois de séparation), je fit semblant de ne pas être venu avec la fille aux grosses fesses qui avait payé mon z-man, tellement j'avais honte; mais c'est sans compter sur ma tenue scolaire qui me trahit. S'il est vrai que l'habit ne fait pas le moine, il aussi vrai qu'on reconnaît le moine par son habit . Soudain j'entend derrière moi un des deux agents de sécurité murmuré : - ces élèves de (Nom de notre école) ne font que se baiser au lieu d'aller étudier; et au second de m'envoyer : - Jeune homme n'avez-vous pas cour? (En mina ) Je ne savait plus quoi faire encore moins quoi répondre. Le seul truc qui m'est venu à l'esprit est de sortir mon chocolat alors même que mon appel s'achevait. Je rangai mon portable dans ma poche et au moment de mettre une tablette à la bouche, l'autre con, me renvoie : Jeune homme n'avez-vous pas cour? En ce moment, je vit Marie venir et pour ne pas paraitre faible je retourne à mon interlocuteur dans un Français purement sorti de la Sorbonne: -Je comprends pas votre langue! ; Puis marchai avec précipitation vers Marie. Une fois dans l'hôtel, Marie m'expliqua qu'elle avait déjà régler les frais et me demanda si je voulais prendre quelque chose, devant le regard des hôtesses, je répondit par la négativité alors que j'aurais avec plaisir accepter un petit Guiness . Nous montâmes les escaliers vite, Marie ouvra la porte rentra, ce que je fit aussi, elle ferma la porte puis me dévorant des yeux comme un sommalien devant un plat de riz, enleva son pagne. Surprise ! Elle n'avait rien en dessous . A suivre
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