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Mon tableau de chattes
14 mai 2015

Mes vacs a Cotonou

Mes vacs à Cotonou Acte 1 Ma cousine Fani Juin 2006, je décroche mon bac et part en vacance chez ma mère à Cotonou. Deux jours après mon arrivée dans la capital économique béninoise, ma mère et moi sommes invités chez une cousine à elle, une que je n'ai Jamais vue avant . Arrivé chez la cousine à maman qui est par conséquent ma tante, je fut immédiatement conquis par la beauté de sa fille Stéphanie, Fani pour les intimes. Je noue vite une Amitié avec elle. Le soir dans mon lit, j'ai pensé une partie de la nuit à comment faire pour posseder son corps et explorer son jardin secret. Le lendemain, je l'appelle, on se parle quelques minutes puis elle m'invite á une fête qu'organise une amie à elle le samedi (On était au Mercredi). On s'est appelé les jours suivants puis arrive le samedi. Fani est coiffeuse-esthéticienne, a un pétit ami et inaugurera son salon dans trois semaines . Elle est d'une beauté envoutante avec ses fesses bien rondes et larges, des chutes de rein digne d'une princesse arabe des milles et une nuit, avec une taille de 1m70, tout ça avec un teint claire. Arrivé au carrefour oú on devait se rencontrer pour aller à la fête, Fani était déjà là et m'attendait. Elle était toute belle rayonnante dans son décolté rose et son jeans bleu moulant taille basse. On arrive chez son amie qui habite dans une villa chic dans une cité de Cotonou. Elle me présente tout le monde et ses amis sont très cool avec moi; c'était Comme si on se connaissait depuis toujours. Tout se passe bien puis après une chanson de R. Kelly, la musique vira au zouk ainsi que la lumière qui passe maintenant au violet. Danssant déjà avec Fani, je la prend juste par les hanches et nous entamons des mouvements de rein. Sans mentir, je suis un peu doué en zouk et j'ai réussi à avoir plusieurs amies en danssant du zouk avec elles. Un morceau passa puis un autre s'annonce, une chanson que j'aime particulièrement, une chanson de Joycelin Deloumeau . Je sert Fani plus qu'avant puis j'entame une danse plus serrée avec elle. Je commence par la regarder plus intenssement puis sachant bien les mots de la chanson qui suivront dans les secondes à venir, je chante en synchro avec l'auteur tout en tentant une caresse osée sur les fesses de ma cousine : Au plus profond de mes rêves, au plus profond de mes rêves, t'es la douceur de mes nuits. A ces mots Fani réagit et me lance avec humour : - Tu me fais une déclaration ou quoi ? - Appel ça comme bon te semble mais une chose est sûre, depuis notre rencontre, je ne pense plus à rien, mes pensés vont irresistiblement sans cesse vers toi et ta beauté unique me rend dingue - T'es serieux? - Evidemment, d'ailleurs, tu peux pas imaginer á quel point je me retiens pour ne pas t'embrasser si près de tes lèvres qui m'obssedent tant et je voudrais bien te . Elle me laisse pas terminer et me colle ses levres à la bouche. Je me fais pas prier et commence par l'embrasser. Elle me roule une perle diaboliquement sensuelle et raffinée . Jamais une fille ne m'avait auparavant embrassé comme ça. Sa langue était une véritable source de plaisir. Elle se détache de moi et me dit : - Ro, je sais pas si tu dis ça juste pour m'impressionner ou si tu le pense réelement mais je pense que tu me plais aussi et c'est la vérité, tu m'attire tellement . A ces mots, elle me prend le poignet droit et sans mot dire me traine derrière elle. Nous traverssames le salon pleine de danseurs, le couloir puis elle me fit entrer après elle dans une chambre (je saurai après que c'est la chambre à clarissa, son amie). A peine entrés, Fani se jette sur moi et commence par m'embrasser avec fougue, Je lui rend sa perle de tout à l'heure puis sans perdre de temps, situation oblige, lui foure une main dans son décolté. Je lui caresse les seins tout en l'embrassant puis, ouvrit son soutif. Je sentit sa respiration s'emplifier puis Je lui enlève vite fait le décolté et ce que je vis provoqua en moi une excitation démesurée. Ses seins bien plus claires que le reste de son corps étaient d'une beauté infinie , la moyenne, ni gros ni pétits, ils étaient pointés comme je les aime, tel des missiles américains pointés sur Bagdad . Je prit le droit dans ma bouche tandis que le gauche reçevait la visite de ma main droite qui l'échangait de temps en temps avec des caresses dans le dos de Fani et des occupations au niveau de son bas-ventre. Fani me caresse la tête et sa respiration est de plus en plus fort. Maintenant, ma bouche change de cible puis après quelques minutes, visite les deux seins de Fani l'un après l'autre. Mes mains pendant ce temps, cherchent á ouvrir sa ceinture puis après avoir eu gain de cause, elles s'occupent du bouton. Je me sépare des seins claires de Fani puis lui enlève son pantalon jeans. Wow! Que c'est beau! Ma cousine ne portait ríen sous son jeans et me paraissait comme une déesse, son sexe était entièrment épilé et d'une attirance imcompréhensive . Je fit coucher Fani sur le lit puis en voyant ses cuisses qui s'ouvrent et me présentent son entre-jambe bien en chair et joufflu, je m'approchai d'elle un peu plus, mit une main sur son sexe. Qu'est-ce qu'il est lisse! Je reviens á son entre-jambe, puis remarque que Fani est trempée je reçu un appetit soudain, un appetit sans précedent et jusqu'aujourd'hui incompréhensif, je m'approchai de sa chatte, la renifle puis y glisse ma langue. Pour la première fois, moi qui suis un anti-culliningus, insultant souvent mes potes fans de cette pratique, je sucombe á son envoutement. Quelle est chaude et pure délice cette grotte! Je plongeai un peu plus ma langue ce qui fit gémir Fani et elle ouvrit plus ses cuisses et je dépose un doigt sur son bouton d'amour. J'accentue les caresses sur son clito tandis que ma langue fouille plus profondement l'intimité de ma cousine. Fani Me caresse la tête tout en gémissant encore plus. Je remplace maintenant ma langue par un doigt ce qui fit sursauter ma cousine qui lache un pétit cri. Mon doigt double de vitesse tout comme la respiration de Fani dont la fente ruisselle de mouille. Ma bite dure depuis un certain temps me fait maintenant mal. Je remit ma langue sur son clito puis mit un second doigt dans la cave. Elle sursaute en lachant un miaulement. Je continue de la travailler puis après quelques minutes je sens son corps se crisper elle me murmure : - Oh Ro! Ro c'est bon ! Je viens ! Je viens ! Fani part dans un long orgasme puis je sens un flot de cyprine envahir mes doigts. Je me lève et descends du lit enlève ma ceinture, ouvre ma braguette descends mon pantalon suivi de mon boxer, je sort un préso de mon porte-feuille m'apprette á ouvrir l'emballage lorsque j'entends: Qu'est-ce que tu fais? Tu ne vas tout de même pas me baiser comme ça? Du moins pas avant que je ne te remercie. Elle se lève s'approche de moi, m'embrasse soudain je sentit, une sensation agréable sur mes couilles. C'était Fani qui les prenait en main. Ce geste doubla mon érection, j'étais encore dans mes emotions lorsque je sent ses doigts s'enrouler autour de ma bite; puis se détachant de ma bouche, elle me dit tout en commençant par me branler avec douceur: - Tu sais, je n'oublierai Jamais ce que tu viens de me faire, enfait c'est la première fois qu'on me le fait, en plus tu m'as fait jouir rien qu'avec ta langue et tes doigts, mon mec ne m'a jamais fait jouir, merci! Elle descends á présent á mes pieds tout en continuant la branlette puis depose un baiser sur la tête de la bête. Il s'ensuit une serie de baisers doux et tendres sur le long de mon boa. Ce traitement me fit fermer les yeux alors qu'une main me reprend les couilles. Je frémit quand tout á coup, je sentit une humidité se poser sur ma tige. J'ouvre les yeux quand je vit la bouche de ma cousine avaler mon pénis. Je la voit aller jusqu'à la moitié de mon membre puis revenir á la tête. Elle prend á présent l'animal á la queue puis me pompe avec vigeur. La vue de ses belles lèvres allant et venant sur ma bite m'excite au plus haut point. Je lui mis une main dans les cheveux pour les lui caresser. Fani semble être encouragée par mes caresses et pouce plus loin dans sa gorge ma bite. Je ne retiens plus ma respiration qui devient plus intense. Je me retire de sa bouche la relève, l'
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